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28 février 2017 2 28 /02 /février /2017 13:55

SARID Yshaï

Né en 1965 à Tel Aviv-Jaffa, Yshaï Sarid est avocat  après avoir été procureur, et romancier israélien, auteur de romans policiers.

Il étudie le droit à l'Université hébraïque de Jérusalem. Il devient ensuite avocat, puis procureur général, avant de travailler dans le privé.

Un temps officier de l'armée israélienne, il est le fils de l’homme politique et député Yossi Sarid, fondateur du Meretz, (parti politique israélien laïc et socialiste), ministre de l’Environnement puis de l’Education dans les gouvernements de Yitzhak Rabin et Ehud Barak, et grande figure de la gauche pacifiste.

Son épouse, elle, est la petite-fille de Moshé Dayan, militaire et homme politique israélien, et la fille de la maire-adjoint de Tel-Aviv, Yael Dayan.

L’auteur est lui un sioniste de gauche, moins engagé que son père mais à la conscience civique revendiquée.

 

Il remporte le grand prix de littérature policière en 2011 pour Le Poète de Gaza.

 

Une proie trop facileActes Sud, coll. « Actes noirs », 2015 

Le Poète de GazaActes Sud, coll. « Actes noirs », 2010 

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    1 novembre 2015 7 01 /11 /novembre /2015 16:08

    Asaf Schurr

    Asaf Schurr est né à Jérusalem en 1976. Après des études de philosophie et de théâtre à l'Université hébraïque de Jérusalem, il a été journaliste Romancier, il est aussi traducteur et critique littéraire pour la presse israélienne. Motti, sa chienne de vie est son premier roman traduit en français.

    Il a reçu le Bernstein Prize en 2007, le prix du ministère de la culture en 2007, et le prix du premier ministre en 2009 pour Amram (roman non traduit en français)

     

    Motti, sa chienne de vie ACTES SUD, 2010

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    19 juillet 2015 7 19 /07 /juillet /2015 09:42

    Liad SHOHAM

    Liad Shoham est né en 1971 à Givatayim, sa mère était principale d'un lycée et son père travaillait au ministère de la Défense.

    Dans son enfance, il a passé quelques années à Paris.

    Il a étudié le droit à Jérusalem et à Londres. Aujourd'hui avocat en Israël, inscrit au barreau depuis 1997, spécialisé dans le droit commercial et administratif, Liad Shoham est aussi l'auteur de thrillers le plus célèbre de son pays, reconnu sur la scène littéraire internationale.

    Il a débuté sa carrière d'auteur par des écrits autobiographiques, tous rejetés par les éditeurs israéliens. Les éditions Kinneret sont les seules à prendre en compte son travail et c'est Dov Alfon, son éditeur , qui lui conseille d'écrire des thrillers. La carrière de Liad Shoham est lancée, il a publié depuis 7 romans policiers dont 2 déjà paru en France et un troisième à venir en octobre.

    Il a également publié 2 romans pour enfants.

    Liad Shoham vit actuellement à Tel-Aviv, avec sa femme et leurs deux enfants.

    Quelques mots de Liad shoham sur son procédé d'écriture :

    « Vous devez être crédible, il faut tracer une intrigue qui est "réel" et que les lecteurs peuvent croire plausible. Une façon de traiter est en faisant une recherche approfondie. Non seulement une bonne recherche enrichie grandement l'histoire, elle donne au livre un niveau de crédibilité élevé. Quant à moi, je ne commence pas à écrire avant de faire la recherche. Dans le cadre de la rédaction de mes livres, je rencontre des policiers, des assistants de juges, des juges, des journalistes et des scientifiques. Je tente de savoir comment les choses se passent "vraiment" ...

    Je pense que comme écrivain de polar, il faut être crédible et pour être crédible, il faut imiter la réalité. Cependant, la réalité que je tente de rapprocher n'est pas nécessairement le "vrai", mais plutôt la perception commune de la réalité ". Shoham, Liad. (interview du17 September 2013). “The importance of being earnest – realism in crime fiction”

    Shoham se dit influencé notamment par les écrivains Georges Simenon et John Grisham:

    "sur Maigret : j'aime beaucoup le réalisme, les personnages intéressants et le fait que la solution du mystère soit dérivée de la compréhension de la nature humaine, je suis en train de mettre en œuvre ce principe aussi dans mes livres.

    Je suis très influencé par John Grisham dans la manière de présenter la société et ses problèmes «

    Bibliographie :

    London in a Pita, 2001

    Life on Diagonal, 2002

    Extra Small, 2003

    God's Gang, 2005

    A week in the Life, 2007 (premier roman policier)

    Unlisted Number, 2008

    The Fruit of the Poisonous Tree, 2009

    Retrial, 2010

    Line Up, 2011 (publié en France sous le titre Tel Aviv Suspects aux éditions Les escales noires)

    Asylum City, 2012 (publié en France sous le titre Terminus Tel-Aviv aux éditions Les escales noires)

    Blood Oranges, 2014 (à paraître en France en octobre 2015 sous le titre Oranges amères aux éditions Les escales noires)

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    14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 14:25

    TEG AMLAK AVERA Omri

    Omri Teg Amlak Avera est le premier écrivain israélien d’origine éthiopienne.

    Né en Ethiopie dans la région de Gondar dans les années 70, Omri fait partie des Béta Israël (injustement dénommé félasha) qui ont émigré en Israël lors de l’opération Moïse.

    Avec sa famille il quitte l’Ethiopie et son village pour rejoindre le Soudan ou il pourra embarquer dans l’un des avions de l’opération Moïse.

    Arrivé en Israël,  il commence des études mais faute de revenus stables il doit les arrêter. Il devient alors ouvrier à Haïfa.

    Il évoque ‘la chance’ et ‘le miracle’ d’avoir pu attirer l’attention d’une grande maison d’édition.

    « Mon livre a déjà contribué à ouvrir les yeux des Israéliens sur ces problèmes. Une personne m’a même raconté qu’après l'avoir lu, elle avait vu un groupe d’Éthiopiens et avait eu envie de les embrasser ! »

     

    ASTERAÏ est son premier livre, publié en Israël en 2008.

    Disponible aux éditions Actes Sud

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    9 juillet 2008 3 09 /07 /juillet /2008 19:29

    Israël SHAMIR
    Pour savoir de qui il s'agit
    Décrit comme écrivain, traducteur et journaliste russo-israélien.
    Originaire de Novossibirsk, en Sibérie,  petit-fils d'un professeur de mathématiques et descendant d'un rabbin de Tibériade, en Palestine, il aurait étudié à la prestigieuse école de l'Académie des sciences et aurait étudié les mathématiques et le droit à l'Université de Novossibirsk.
    En 1969, il s'installe en Israël, aurait servi comme parachutiste dans l'armée et aurait combattu dans la guerre de 1973. Après son service militaire, il aurait repris ses études de droit à l'Université hébraïque de Jérusalem, mais aurait abandonné la profession d'avocat pour poursuivre une carrière de journaliste et d'écrivain. Il travaille d'abord à Radio Israël, et, plus tard, en freelance. Ses missions variées couvrent le Vietnam, le Laos et le Cambodge dans les dernières étapes de la guerre en Asie du Sud-Est.
    En 1975, Shamir aurait rejoint la BBC et se serait installé à Londres. En 1977-79, il aurait écrit pour le quotidien israélien Maariv et aurait traduit un certain nombre de classiques japonais.
    Après son retour en Israël en 1980, Shamir aurait écrit pour le quotidien israélien Haaretz et le journal Al Hamishmar.
    Il aurait traduit et annoté les œuvres de SY Agnon, le seul prix Nobel hébreu, de l'original hébreu, en Russe. Shamir serait aussi un traducteur de Joyce et d'Homère en russe. 

    Très impliqué politiquement, Israël Shamir est très controvorsé, son implication propalistinien, ses propos dans des sites négationistes lui ont valu d'être traité d'anti sioniste et d'antisémite.
    Les premières accusations d'antisémitisme visant Israël Shamir ont été portées en 2001 par Ali Abunimah et Hussein Ibish, deux des principaux animateurs du mouvement propalestinien aux États-Unis, qui dans une lettre ouverte datée du 16 avril 2001 ont exprimé leurs « sérieuses inquiétudes » au sujet de cet homme. Par la suite, Hussein Ibish (qui est à cette époque le porte-parole de l’American-Arab Anti-Discrimination Committee (ADC), et deviendra par la suite l'un des responsables de l'American Task Force on Palestine) publiera le compte rendu d'une rencontre qu'il a eue avec Israël Shamir. Selon Hussein Ibish, Israël Shamir dernier y apparaît à la fois comme un antisémite obsessionnel et comme un homme vénal.
    Sa maison d'édition, Al qalam, en France a été condamné en 2005 lors de la publication de son premier livre qui fut retiré des ventes.
    En 1993, il serait revenu en Israël et vivrait à Jaffa. Mais selon certaines sources il serait citoyen suédois.

    Compte tenu des accusation d'antisémitisme qui pèsent sur lui, je ne donnerai pas ici sa bibliographie en français. Aucun de ses livres n'est traduit en hébreu.

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    20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 18:04
     TCHERNIKHOVSKY Saül
    Tchernikhovsky est considéré comme le plus grand poéte israélien, sa poésie va de pair avec la création de l'état d'Israël.
    Saül Tchernikhovsky, est né en 1874 (décédé en 1943 à Jerusalem) à Mikhaïlovsk , village de la Crimée méridionale dont le climat rappelle à la fois la Grèce et la Judée. Ses parents, relativement aisés, étaient les descendants des colons juifs installés dans la luxuriante campagne de la presqu'île depuis de nombreux siècles. Sans oublier leur origine, ils vivaient en bonne intelligence avec leurs voisins, les Tatares. Aussi le jeune et impétueux Saül se gorgeait-il de soleil et de la beauté du site. Deux savants lituaniens, qui s'étaient installés dans cette attrayante région, lui donnèrent le goût de l'hébreu. À douze ans, il écrivait déjà des poèmes dans la langue des prophètes. Trois ans plus tard, on l'envoya étudier à Odessa où s'était constitué un centre hébraïque qui accueillit le nouveau venu.
    C'est là qu'il est saisi par le démon de la poésie. Tchernikhovsky chante, en hébreu, des thèmes qui, par leur licence, ne sont guère familiers à la langue sacrée. Il se montre fort peu soucieux des doctrines officielles du judaïsme.
    À Odessa, il s'applique, en outre, à l'étude du français, de l'allemand et de l'anglais, au point qu'il arrive à lire, dans le texte, Goethe, Shelley, Alfred de Musset. Comme il désire entrer à la faculté des sciences naturelles, il lui faut aussi apprendre le grec et le latin dont il profitera grandement plus tard.
    Ayant opté pour la médecine, il se rend à Heidelberg où, tout en étudiant, il continue à écrire en puisant largement aux sources païennes. Il y célèbre les mérites des filles et des vins rhénans, comme il avait vanté ceux des filles tatares. Se considérant comme un Athénien hébreu, enhardi par le cadre romantique et subissant l'influence de ses maîtres allemands, il écrit un poème, "Devant la statue d'Apollon", qui fait sensation et... scandale:
    "Je suis venu chez toi. Me reconnais-tu? Je suis le Juif . Il existe entre nous une querelle éternelle; les eaux de l'océan ne suffiraient pas à combler l'abîme qui nous sépare. [...] Je me prosterne devant le Beau et le Sublime, devant ce qui est grand dans l'Univers [...] Toutes ces belles choses que des hommes sans vie [...] ont enlevées à Shadaï-Dieu-Roc et qu'ils ont enchaînées dans les cuirs des philactères."

    Tchernikhovsky fait là le procès du ritualisme juif, mais il garde jalousement le souvenir des héros et de la terre de ses aïeux, devenant ainsi un des plus fermes soutiens du jeune mouvement sioniste. C'est en glorifiant les héros juifs antiques qu'il trouve des accents prophétiques, presque à son corps défendant, car il ne manque pas de dénoncer le Moyen Âge chrétien et juif issu du prophétisme.
    S'adressant à son malheureux peuple parqué dans le ghetto russe, il s'écrie:
    Ô toi, qui as soif de la parole divine, dont l'âme languit après la Lumière de Jéhova, pareil à un oiseau enfermé dans une cage [...] lève-toi et viens ici, ô mon frère abattu. [...] Je te révélerai les cieux des cieux, je verserai sur toi la rosée de la Renaissance, et tu en guériras.
    Cette renaissance dans le pays ancestral est un de ses thèmes favoris: "Je crois toujours en l'avenir, fût-il lointain, où mon peuple refleurira, où une nouvelle génération se lèvera, unie à la terre, dont les chaînes seront enlevées, et qui verra la lumière face à face, qui vivra, qui aimera, qui agira, qui créera." Ainsi, Tchernikhovsky demeura un croyant à sa manière.
    Sa poésie foisonne de formes nouvelles, de rythmes, de rimes, d'assonances. Tout en possédant au plus haut degré le génie de la langue ancestrale, il y apporte les grandes découvertes de l'art occidental, et porte le sonnet à un degré de perfection inconnu dans la poésie hébraïque.
    En 1905, il termine ses études médicales à Lausanne. Puis il retourne en Russie: Kiev, Saint-Pétersbourg, Odessa. Il est tour à tour interdit de séjour, incarcéré pour de pseudo-menées subversives, médecin de campagne pendant une épidémie de choléra, médecin au front durant la Première Guerre mondiale, externe dans un hôpital militaire au début de la révolution. Il ne cesse pas pour autant d'écrire, produisant même, en cette époque troublée, ses plus beaux chants.
    Ses principaux recueils ont pour titres: Visions et mélodies (Hezionot ou-Manguinot ), Idylles (Sefer Ha Idiliot ), Cahier des sonnets (Mahberet ha Sonetot ), La Flûte (He Halil , recueil de poésies enfantines), Vois donc, terre! (Reï-Hadama , recueil de poèmes israéliens).
    Tchernikhovsky collabore activement à l'encyclopédie judéo-russe et écrit plusieurs livres de prose, tels Notions d'anatomie (Sefer Mounahim le Anatomia ) et Trente-Trois Contes (Chelochim ou-chelocha Sipourim ) ainsi que de nombreux et savoureux feuilletons parus dans diverses revues.
    Grand traducteur, il se donne pour tâche de faire connaître au lecteur de langue hébraïque les oeuvres épiques de toutes les civilisations. Aussi traduit-il L'Iliade et L'Odyssée , des poèmes de Théocrite et les Odes d'Anacréon, Gilgamesh (la geste des héros du Tigre et de l'Euphrate), l'Évangeline et le Chant d'Hiawatha de Longfellow, le Kalevala finnois, et d'autres oeuvres fondamentales, parmi lesquelles Le Banquet de Platon; il est également le traducteur du Malade imaginaire de Molière.
    En 1931, après un séjour particulièrement fécond au bord de la Baltique, en Allemagne, il s'installe au pays d'Israël. Il y est nommé médecin des écoles municipales de Tel-Aviv. Sur le sol ancestral, sa poésie s'enrichit encore, se renouvelle, devient peu à peu authentiquement israélienne et chante la jeunesse nouvelle qui régénère le pays.
    En 1943, l'année même où l'on célèbre ses "noces d'or" avec la poésie hébraïque, Tchernikhovsky s'éteint à Jérusalem, succombant à une anémie pernicieuse.
    Son dernier poème, "Lointaines Étoiles du firmament", passe en revue les diverses étapes de sa vie. Il se termine par un vers qui est conçu et exprimé dans le plus pur esprit biblique: "Chères étoiles, que soit bénie chacune de vous là où elle est."

    Bibliographie
    Poèmes Coll littéraire La gerbe hébraïque


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    20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 17:31
     TAMMUZ Benjamin
    Né Benjamin Kammerstein en Russie le 11 juillet 1919, disparu le 19 juillet 1989 à Tel Aviv. Il émigre en Israël à l'age de cinq ans. Il participa au mouvement canaanite, d'ou lui vient son nom d'auteur ,Tammuz qui est un terme cananéen désignant une déité. Dans son enfance, il vécut très proche des populations arabes, sa famille vivait dans une zone arabe entre Tel Aviv et Jaffa,  où il avait donc plusieurs amis arabes. A 20 ans , pendant son service dans l'armée britannique, il vécut dans une tribu bédouine du Sinaï, il fut adopté par un sheikh. Il avait donc cultivé jusqu'à la guerre d'indépendance de 1948 des relations d'amitiés avec les arabes. Il a étudié le droit et l'économie à l'université de Tel Aviv et ensuite à la Sorbonne, il étudia l'histoire de l'art.
    Ecrivain, critique mais aussi peintre et sculpteur, Benjamin Tammuz fut longtemps responsable des pages littéraires du quotidien Ha'aretz. Puis occupa durant sept ans les fonctions d'attaché culturel auprès de l'ambassade d'Israël à Londres. De 1979 à 1984, il fut écrivain résident à Oxford. Son roman, Le Minotaure (publié en France chez Buchet-Chastel en 1982), figura par deux fois en Angleterre sur la sélection du Meilleur livre de l'année.
    Ses livres ont été traduits dans plus de dix langues.


    Bibliographie
    Le minotaure, Edition du Rocher Serpent à plumes Poche 2001
    Le caméléon et le rossignol, Actes Sud Coll. Lettres hébraïques 1993

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    20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 14:22
     SUCARY Yossi
    Né en 1959 à Ramat Gan, dans la banlieue de Tel-Aviv, Yossi Sucary a grandi dans le quartier pauvre de Pardes Katz. A 8 ans, sa famille s'installe à Tel Aviv, ou il vit encore aujourd'hui. Il a étudié la philosophie à l'université de Tel-Aviv et l'enseigne depuis 1996 à l'académie des arts Camera Obscura. Il a publié son premier livre en 2002


    Bibliographie
    Emilia et le sel de la terre : une confession , Actes sud , 2006

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    20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 14:14
     SOMECK Ronny
    Ronny Someck est né à Bagdad en 1951. Jeune enfant, il émigre en Israël. Il est diplomé de littérature hébraïque et de philosophie juive. Il enseigne la littérature et anime des ateliers d'écriture. Il a publié 9 recueils de poèmes ainsi qu’un livre pour enfants avec sa fille Shirly, Le bouton du rire. Ses poèmes ont été traduits en 39 langues. Il a reçu le Prix du Premier Ministre a deux reprises en 1989 et en 2000, le Prix Yéhouda Amichaï pour la poésie hébraïque, le "Prix des poèmes du vin" accordé en 2005 dans le cadre des Soirées Poétiques de Struga en Macédoine et le Prix de poésie Hans Berghhuis en 2006 dans le cadre du Festival international "Les Nuits de la Poésie" de Maastricht en Hollande.
    il est considéré comme l'un des poètes israéliens le plus populaire.

    Bibliographie
    Constat de beauté, poésie, Edition PHI, 2008
    Nés à Bagdad (avec Abdul Kader El Janabi), poésie, éd. Stavit, 1998
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    20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 13:59
     SOBOL Yehoshua
    Yehoshua Sobol (né en 1939 à Tel Aviv) était en activité en tant que jeune homme dans le mouvement socialiste de jeunesse du Hashomer Hatzair et était de 1957 à 1965 un membre d'un kibboutz .Il a ensuite étudié la philosophie à la Sorbonne de 1965 à 1969, puis en 1970 l'école nationale d'informatique à Paris.
    Principal dramaturge hébraïque, il a enseigné l'esthétique et a dirigé des ateliers à l'université de Tel Aviv, au séminaire des professeurs de Kibboutz et à l'école de théâtre Beit Zvi. De 1985 à 1988, il a servi comme directeur artistique du théâtre municipal de Haïfa. Sa pièce, " Ame d'un juif ", a été jouée à Edimbourg, à Berlin et aux festivals de Chicago. Sa pièce, " Ghetto ", a été nommée pièce de l'année de la Grande-Bretagne en 1989 et pièce de l'année en 1996 à Tokyo, et a été mise en scène à Vienne, Cologne, Toronto, Oslo, Paris, Los Angeles, Berlin et à Washington. Elle a été traduite en 20 langues et jouée dans 25 pays à travers le monde.
    Sa première pièce fut jouée en 1971 au théâtre municipal de Haïfa.
    En 2001, sa nouvelle 'Silence' a reçu le prix Sapir de la meilleur nouvelle de l'année.
    En 2003 il a enseigné à l'école Bezalel d'architecture après avoir enseigné en 2001 à l'université de Tel Aviv .

    Bibliographie
    Ghetto La manufacture 1989
    Solo : Pièce en quatre actes, avec Nathalie Staron, Presses Universitaires de Saint Etienne 1998
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